« Alice Gulipian passe d’un « E strano » sensible à un « Sempre libera triomphant, avec des aigus lumineux. Son « Addio del passato » bouleverse. » (Bruno Villien, Opéra Magazine, mars 2011)
“C’est Violetta qui fait ou défait le succès d’une représentation de La Traviata. Celle-ci était excellente ! Avec une voix somptueuse et un physique éblouissant, Alice Gulipian est une Violetta pleine de rage de vivre et particulièrement touchante. Elle chante tout le rôle avec une technique très sûre et un goût excellent, ravissant un public ému aux larmes. » (Jan van Smeden, ITHTR, 2009)
© Marie Julliard
« Le meilleur de cette production de La Traviata est la découverte de la soprano franco arménienne Alice Gulipian dans le rôle de Violetta. Une voix stupéfiante : un son plein aux aigus éblouissants, un phrasé remarquable, des forte considérables, des pianissimi raffinés, et qui plus est un physique parfaitement crédible. » (Opera Gazet, Anvers 2009)
Soprano française d’origine arménienne, Alice Gulipian est saluée par la critique pour son exceptionnelle présence scénique et sa très grande musicalité. Elle possède une voix d’une remarquable agilité, ample et généreuse, aussi à l’aise dans le suraigu que dans le médium grave. Son timbre chaleureux la destine tout naturellement aux rôles de bel canto qu’elle affectionne autant que le répertoire mozartien.
Alice a triomphé dans le rôle de Violetta (La Traviata, Verdi) qu’elle a chanté en 2009 à Anvers, Gand, Rotterdam et Utrecht sous la direction de Maciej Figas et dans une mise en scène de Frank-Bernd Gottschalk.
Elle a été choisie par Amaury Du Closel et Pierre Thirion Vallet pour interpréter Violetta en 2011 pour une série de plus de dix représentations. Elle a également chanté le rôle d’Amour (Orphée, Glück).
En 2012, Alice sera Gretel (Hänsel und Gretel, Humperdinck) en tournée en France avec le Centre lyrique d’Auvergne. Elle reprendra le rôle de Violetta, à nouveau sous la direction d’Amaury Du Closel, au cours de la saison, et fera ses débuts dans le rôle de Mireille (Gounod) à Marseille.
Parmi ses projets pour la saison 2012/2013, une nouvelle production de La Traviata aux côtés du ténor Julien Dran, et le rôle-titre d’Iphigénie en Tauride (Glück)
Depuis ses débuts en 2002 dans le rôle de Serpina /La Serva Padrona sous la direction d’Errol Girdlestone, avec le festival Opus Opéra, Alice Gulipian se produit sur les scènes de nombreux théâtres européens, abordant très tôt des rôles de premier plan.
Elle remporte en 2004 le premier prix du concours Hans Gabor Belvedere de Vienne grâce auquel sa carrière prend une nouvelle ampleur.
Engagée par l’Opéra de Besançon pour la saison 2005/2006, elle y chante les rôles de Bérénice / L’occasione fa il ladro, de Pamina et de Papagena dans deux productions différentes de La Flûte Enchantée, ainsi que Curlew River, de Britten.
En 2006/2007, Alice Gulipian aborde pour la première fois le rôle de Norina / Don Pasquale dans le cadre d’une tournée en Belgique et aux Pays Bas avec la compagnie néerlandaise Stichting Internationale Opera Producties, au cours de laquelle elle se produit notamment au Concertgebouw d’Amsterdam, à Rotterdam et au Concertgebouw de Bruges.
L’Opéra de Cracovie l’invite à reprendre le rôle de Norina en 2007 (dm : Piotr Sulkowski ; ms : Walter Neiva.)
Toujours au cours de la saison 2006/2007, elle chante à l’opéra de Toulon le rôle de Giannetta / L’Elixir d’amour (dm : Giuliano Carella ; ms : Davide Livermore.)
Enthousiasmée par sa performance dans Don Pasquale, la compagnie Stichting Internationale Opera Producties lui offre le rôle titre de Lucia di Lammermoor (tournée aux Pays Bas en 2007/2008, ms Bert Bijnen.)
Alice Gulipian mène également une intense activité de concerts, se produisant à Paris (salle Cortot, théâtre Tristan Bernard, église de la Madeleine), dans de grandes salles européennes (Palais Coburg à Vienne, Concertgebouw d’Amsterdam, Opéra de Baden), ainsi que dans de nombreux festivals (Classiques d’Avenir à Arcangues, Musique sacrée à Marseille, Voix Etouffées.)
Au cours de la saison 2008/2009, elle a repris les productions de Don Pasquale et de La Flûte enchantée (Pamina) et débuté dans les rôles de Donna Anna / Don Giovanni et Adina / L’Elixir d’amour.
Formée par la mezzo soprano Viorica Cortez et la soprano Raïna Kabaïvanska à l’Accademia Musicale Chigiana de Sienne, Alice Gulipian travaille désormais sous la direction du chef de chant et chef d’orchestre new-yorkais Thomas Muraco.
Praise for Alice Gulipian’s Traviata :
« Alice Gulipian moves from a sensitive “Estrano” to a triumphant “Sempre libera “ with brilliant top notes. Her addio del passato is stunning » (Bruno Viliien, Opéra Magazine, April 2011)
« And it is Violetta who makes or breaks the performance. And good she was! With a gorgeous sound, the stunning-looking Alice Gulipian makes of Violetta a woman eager to fight, yet with depth of feeling. She sings everything with absolute control and wonderful taste, and succeeds in touching the audience. » (Jan Van Smeden, ITHTR, Netherlands, May 2009)
« The most positive side of this production is the French-Armenian soprano Alice Gulipian in the role of Violetta. A stunning voice: a full sound with all the necessary top notes, phrasing up to considerable fortes, refined pianos and an extremely credible appearance. » (Opera Gazet, Antwerpen 2009)
The French-Armenian soprano Alice Gulipian is unanimously appreciated for her alluring stage presence and rare musicality. She possesses an ample vocal range which allows her great ease from her low medium to high E. Her remarkable agility and the warmth of her timbre make her an ideal romantic bel canto performer. She is particularly fond of this repertoire, as well as of the Mozartian one.
Alice sang her first Violetta (La Traviata, Verdi) to great acclaim in 2009 in Antwerpen, Gent, Rotterdam and Utrecht (musical director: Maciej Figas, stage director: Frank-Bernd Gottschalk.)
She’s been chosen by French conductor Amaury Du Closel to sing Violetta in Clermont Ferrand in 2011. In 2012, she will sing Gretel (Hänsel und Gretel, Humperdinck) for a tour throughout France with the Centre Lyrique d’Auvergne, and five more performances of La Traviata. She will also make her debut in the title role of Mireille (Gounod) in Marseille.
Since her debut as Serpina in La serva padrona with conductor Errol Girdlestone for the OPUS opera festival in 2002, Alice Gulipian has appeared on the stages of numerous European theatres, tackling major roles from early on.
Having sung Rosina/IlBarbiere di Siviglia and Frasquita/Carmen at the Théâtre de Saint Germain en Laye, she won First prize for operetta in the Hans Gabor Belvedere competition in Vienna in 2004, which made her career soar.
Alice Gulipian was invited by the Besançon Opera as a resident artist for their 2005/2006 season. There she performed the roles of Berenice/L’occasione fa il ladro; Papagena, then Pamina in two different productions of Die Zauberflöte, as well as The Spirit of a Child in Curlew River by Britten.
At the beginning of the 2006/2007 season, she sang Susanna /Le Nozze di Figaro, as well as Giannetta /L’Elisir d’amore at the Toulon Opera (musical director: Giulio Carella; stage director: Davide Livermore).
That same year, she debuted in the role of Norina/ Don Pasquale, touring the Netherlands and Belgium with the Dutch company Stichting Internationale Opera Producties, appearing at the Amsterdam Concertgebouw, in Rotterdam and at the Bruges Concertgebouw.
The Opera of Krakow invited her to sing this same role in January 2007 (musical director: Piotr Sulkowsky; stage director: Walter Neiva)
Greatly impressed by her performance in Don Pasquale, the company Stichting Internationale Opera Producties offered her the title role of Lucia di Lammermoor (stage director: Bert Bijnen), for another tour of the Benelux countries in 2007/2008.
Alice Gulipian also enjoys a vast repertoire of concert music, appearing in recitals in Paris (Salle Cortot, Théâtre Tristan Bernard), in major European venues (Amsterdam Concertgebouw, Palais Coburg in Vienna, Baden Opera) as well as in several festivals (Musique sacrée in Marseille, Classiques d’Avenir in Arcangues).
Highlights of her 2008/2019 season included a reprisal of the Don Pasquale and Die Zauberflöte (Pamina) productions, as well as her debuts in the roles of Donna Anna/Don Giovanni and Adina/L’Elisir d’Amore.
Encouraged and trained by mezzo soprano Viorica Cortez and soprano Raïna Kabaïvanska at the Accademia Musicale Chigiana of Siena, she currently works with American conductor and vocal coach Thomas Muraco.
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